Pour une raison simple : parce que la vie coûte de plus en plus cher ! Selon l’Insee, l’arrivée d’un enfant augmente de 20 % les dépenses du ménage. 20 % ! Outre-Atlantique, il y a une tradition culturelle qui va dans ce sens : dès que l’enfant naît, les parents lui ouvrent une épargne à long terme et diversifient au maximum leur placement. Parce que là-bas, tout a un prix (en particulier l’éducation) et que l’État n’intervient que très peu. En France, l’école est gratuite certes. Mais elle a aussi un coût sur bien des aspects.
J’ai quatre enfants dont un jeune de 16 ans, qui a commencé la conduite accompagnée en vue du permis et qui se prépare à aller en école préparatoire. Tout cela a un prix ! En parallèle, je dois continuer de rembourser mon prêt de résidence principale, payer mes impôts… Pour chacun de mes enfants, j’ai fait le choix d’une épargne régulière dès la naissance, pour faire face à toutes les dépenses liées à l’éducation et à l’entrée dans la vie active.
Bien sûr ! C’est d’ailleurs très intéressant que des grands-parents mettent en place cette épargne, car ils peuvent y contribuer même si seuls les représentants légaux peuvent ouvrir un contrat d'assurance vie pour un mineur : ils n’ont plus d’enfants à charge et pour ceux d’entre eux qui sont propriétaires, ils sont généralement libérés du remboursement de leur résidence. Ouvrir et alimenter une épargne pour leurs petits-enfants est un moyen de donner à la génération suivante sans être soumis à des frais de succession. Ainsi, s’ils ont de la liquidité, verser de l’argent tous les mois est une façon d’anticiper la transmission de leur patrimoine de leur vivant. D’ailleurs, nombreux sont les grands-parents qui font moins de cadeaux, comme les jouets, en préférant constituer un capital pour l’avenir de leurs petits-enfants. À l’inverse, les parents n’ont pas toujours de patrimoine liquide, entre les prêts à rembourser et la fiscalité plus lourde pendant la vie active : d’où l’intérêt pour eux aussi d’étaler la trésorerie pour les enfants via une épargne régulière commencée au plus tôt.
Aujourd’hui en France, les parents et grands-parents ont tendance à ouvrir un livret A à la naissance d’un enfant. Or, celui-ci ne rapporte que très peu (3 %) et il est plafonné (22 950 euros). Le livret A est conçu pour être une tirelire dans laquelle piocher pour des besoins immédiats. Pour de l’épargne à long terme, je conseille aux familles de privilégier des placements plus longs et potentiellement plus rentables. À cet égard, l’assurance vie s’avère rémunératrice et avantageuse.
Pas du tout. À titre d’exemple, l’assurance vie Carac démarre avec des virements de 30 euros par mois, afin d’être accessible à un maximum de foyers. Il y a un montant minimum de 200 euros (frais inclus) à verser à l’adhésion. Mon conseil ? Faites des versements automatiques en début de mois. Lorsque le virement part avec le reste des charges, c’est comme une facture de plus. Et quand on va faire un tour sur le compte des enfants deux ou trois ans plus tard, c’est sympa ! Par ailleurs, si la situation se tend financièrement pour les familles, la Carac permet de suspendre les versements et de les reprendre un peu plus tard.
C’est une idée reçue ! On peut retirer les montants quand on le souhaite : en revanche, on paie des impôts sur les intérêts perçus depuis l’ouverture du compte. Imaginons que je mette 10 000 euros sur mon assurance vie et que je retire ce montant au bout de 2 ans : je dois déclarer mes intérêts depuis 2 ans et m’acquitter de l’impôt dessus. Si je ferme mon assurance vie avant 8 ans, c’est la même chose. Dans tous les cas, le capital initial (les 10 000 euros) n’est jamais taxé. Mais je recommande d’attendre 8 ans car c’est là que l’assurance vie devient vraiment intéressante. Si je déclare les intérêts après 8 ans, je bénéficie d’un abattement annuel de 4 600 euros sur les intérêts ! Autrement dit, vous pouvez retirer jusqu'à 4 600 euros d'intérêts par an sans aucuns frais. C’est d’ailleurs ce que je conseille à mes clients qui ont des assurances vie très anciennes, pour « purger » les intérêts et payer moins d’impôts. En revanche, au-delà de 4 600 euros d’intérêts (toujours après 8 ans), il y aura des impôts à payer.
Jusqu’à ses 18 ans, ce sont les représentants légaux de l’enfant qui gèrent son assurance vie. Celle-ci est au nom de l’enfant mais il ne peut y toucher qu’après ses 18 ans. Donc quand le jeune atteint sa majorité, l’assurance vie ouverte à sa naissance aura plus de 8 ans et il sera libre d’en faire ce qu’il veut ! Ouvrir une assurance vie pour un enfant, c’est lui offrir un contrat d’épargne avec une fiscalité très avantageuse.
Les versements démarrent à 30 euros par mois, ce qui la rend accessible. Mais aussi et surtout, la Carac ne prélève aucuns frais sur versement ! C’est l’avantage de la structure mutualiste : le rendement est intéressant et la Carac appartient à ses adhérents. Pour les enfants, le contrat d’assurance vie de la Carac propose deux profils : prudent ou équilibré. Par ailleurs, ce sont des supports qui sont très proches des intérêts des jeunes aujourd’hui : les fonds sont investis sur l’environnement, la transition énergétique, l’intelligence artificielle, le traitement de l’eau… Ce sont les thèmes de demain ! Par ailleurs, les conseillers mutualistes Carac apportent une vraie valeur ajoutée en matière d’expertise patrimoniale et d’accompagnement des adhérents.
Les montants investis sur les supports en unités de compte ne sont pas garantis mais sujets à des fluctuations à la hausse comme à la baisse, qui dépendent notamment de l’évolution des marchés immobiliers et financiers. Il existe un risque de perte partielle ou totale en capital. La Carac s’engage sur le nombre d’unités de compte et non sur leur valeur. Le risque de moins-value est donc supporté par l’adhérent. Les obligations/titres de créance proposés en qualité d’unités de compte d’un contrat d’assurance vie sont soumis au risque de défaut de l’émetteur et de perte de valeur en cas de rachat, d’arbitrage ou de dénouement par décès avant l’échéance du titre.
Les rendements passés ne préjugent pas des rendements futurs. Le taux net de frais sur épargne gérée, hors prélèvements sociaux et fiscaux, s’applique aux garanties en cours au 31 décembre de l’exercice concerné. Il ne s'applique pas en cas de décès ou de rachat au cours de l'exercice concerné.